Il se peut qu’aujourd’hui, devant ton café du matin, le monde te semble lourd …
Le monde… je te parle de TON monde (celui que tu as bâti, pierre après pierre tout au long de ton existence) te paraît bien trop lourd à porter …

Ce matin tu rêves d’être une personne toute simple, sans ambition et sans passion.
Ainsi, tu n’aurais pas cette charge de responsabilités, tu aurais moins de problèmes à résoudre.
Et en même temps, tu ne peux pas faire simple. Ce n’est pas ta nature. Point à la ligne.

Aujourd’hui tu te demandes si tu as perdu ton énergie légendaire.

Il te semble urgent de t’accorder du temps.

Oui, bien sûr, il t’arrive de t’accorder des vacances pour prendre un grand coup d’oxygène, pour fuir l’espace d’une semaine ce poids du monde que tu as créé, que tu as tant désiré.
Durant tes voyages, tu en prends plein les yeux, tu recharges tes batteries en zone de silence ou en regardant vivre autrement des peuples lointains.

Alors rentrer à la maison te semble doux, retourner au boulot redevient possible.Une fois rentré de ta bulle d’oxygène, pris à nouveau par le tourbillon des tâches, des responsabilités, la passion renaît.

La sensation de paix est éphémère mais la passion renaît à chaque fois

A chaque fois que tu t’es accordé une bulle de temps pour toi.

Sais-tu pourquoi ? Grâce à quoi ?

Grâce à qui tu es, au plus profond de toi.

Je ne te dis pas que tu as du courage, car là, aujourd’hui, je te sais fatigué.
Et bien sûr, tu en as plus qu’assez d’entendre que tu es quelqu’un de courageux, que tu y arriveras toujours, que “on ne s’inquiète pas pour toi” !

D’ailleurs, tu ne supportes plus d’entendre ton entourage te dire que tu es fort.
Parce qu’ils ne voient pas ton moment à vide.

Ta solitude de guide.

Ce moment pénible, j’aime l’appeler « le syndrome de l’artiste ».
Un peu comme l’artiste qui, quand le rideau tombe, se retrouve effondré de solitude en rentrant chez lui après avoir quitté la scène, après avoir tout donné.

Parce que toi aussi, cela t’arrive, n’est-ce pas ?
Décompenser loin des regards qui voient.
Et mieux revenir, à nouveau rayonnant sur la scène de ta vie. Face à ceux qui te contemplent et que tu portes.

J’ai juste envie de te dire ceci à propos de qui tu es, à propos d’un courage illimité qui t’habite…

Ce courage-là : c’est le cœur en action.

C’est une énergie que tu reçois d’un lieu subtil, quand tu ouvres ton cœur, quand tu veux bien t’accorder de laisser ton mental au tiroir.
C’est ce qui te porte toi !
Et c’est bien plus grand que ton mental, rempli de données.
Ce mental qui lui, veut tout comprendre, tout contrôler. Et te bouffe ton énergie.

Lorsque tu te donnes accès à ce lieu subtil qui est en toi, par l’ouverture du cœur, tu ouvres une porte.

Qui tu es vraiment peut accéder à cette zone de magie.
Là où il n’y a rien à comprendre, juste à accueillir.
C’est là que tu es véritablement QUI TU ES.

Alors, je te propose d’entrer plus souvent que 3 fois l’an dans ce lieu de confort.
Par un moment de silence que tu peux installer chaque matin, en te donnant le droit de ne pas réfléchir.
En te donnant le droit de juste ÊTRE.

Et si cela t’est difficile, je peux t’aider. T’y accompagner.
Par des techniques comme l’hypnose ou la Pnl, ou des outils de développement personnel.

Mais tu sais quoi ?

Je peux surtout t’accompagner en t’accueillant, en t’écoutant, sans que tu aies besoin de briller pour que je t’apprécie.

Et ensemble, nous pourrons réinstaller en toi, cet état de paix intérieure, de façon à ce que tu ne perdes plus le chemin qui mène à l’amour de toi.